Repéré plus tôt dans la journée par un journaliste d’Eastern Echo, l’un des murs dévoués à la liberté d’expression présentait l’inscription « c’est ok d’être blanc ». Le message est arrivé une semaine après qu’une déclaration condamnant l’antisémitisme fut trafiquée sur ce même mur.
« Dès que nous vîmes ce message, nous sûmes qu’il ne pouvait pas rester en place », a déclaré Ethan Smith, vice-président du gouvernement étudiant. « A celui qui a fait ça, je lui dirais d’abandonner. Votre message ne prendra jamais racine ici, et la communauté de l’université ne lui donnera même pas une chance. »
Source :Â EasternEcho
En savoir plus sur Notre Quotidien
Subscribe to get the latest posts sent to your email.