En juin 2017, un réfugié syrien assassinait une jeune fille de 13 ans, Marissa Shen, à Vancouver, en Colombie-Britannique. Un crime horrible. La journaliste canadienne Debra W. Soh dénonce la couverture biaisée des médias. Selon elle, certains ont caché des informations pour protéger la réputation des réfugiés. Sputnik s’est entretenu avec elle.
Juin 2017. Dans le Central Park de Burnaby, une banlieue de Vancouver, une jeune adolescente est retrouvée sans vie. Il s’agit de Marissa Shen, 13 ans, une jeune Canadienne d’origine chinoise.
Il faudra attendre jusqu’au 7 septembre pour que son meurtrier et présumé violeur, un dénommé Ibrahim Ali, 28 ans, soit arrêté par la police. Présumé violeur, car toute la lumière n’a pas encore été faite sur ses motivations. Selon les autorités, il s’agit d’un crime «aléatoire», mais l’accusé avait possiblement l’intention de violer sa victime.
Ibrahim Ali est arrivé 17 mois au Canada avant le meurtre de la jeune Marissa Shen, en tant que réfugié syrien, avec les 40 000 autres admis par le Premier ministre Justin Trudeau.
Pour que le Canada accueille autant de réfugiés en provenance de Syrie, le gouvernement canadien a dû modifier certaines règles, afin alléger les processus d’admission. À l’époque, la décision de Trudeau avait suscité la crainte et la réprobation de certains milieux.
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