« Engagées sur une zone d’attentat, sur un règlement de comptes dans une cité, ou bien pour faire hospitaliser un patient psychiatrique armé, voilà différents types d’intervention pour lesquelles nos équipes étaient loin d’être protégées comme il se doit« , précise le Samu 83.
Source : Var Matin
En savoir plus sur Notre Quotidien
Subscribe to get the latest posts sent to your email.